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procès de p. diddy : barack obama cité à la barre, un témoignage hallucinant fait trembler la cour


Barrack Obama et P.Diddy



Nouveau rebondissement explosif dans le procès de P. Diddy. Ce mardi 20 mai, un témoignage inattendu a jeté un froid dans la salle d’audience : Barack Obama a été évoqué… dans un contexte totalement surréaliste. À l’origine de cette révélation choc : David James, ancien assistant personnel du producteur, décrit par Cassie comme son "bras droit de confiance".

"Des pilules à l’effigie d’un président" : le détail qui glace

Face aux jurés, David James ne retient rien. Il décrit un quotidien démentiel : soirées sans fin, valises pleines de substances illicites, et une dépendance de Sean Combs à "l’adrénaline, au sexe et à la mise en scène". Mais c’est en parlant des drogues que le choc survient : "L’une des pilules avait la forme du visage d’un ancien président", déclare-t-il.




Face aux regards incrédules du jury, il précise : "Je fais référence à Barack Obama." Une phrase qui fait l’effet d’une bombe, reprise par le New York Post, tant elle incarne la démesure absolue de cet univers.

Une pharmacie ambulante et des soirées scénarisées

Le témoignage ne s’arrête pas là. David James révèle qu’il devait transporter une valise remplie de drogues pour satisfaire les moindres désirs de Diddy : stimulants, opiacés, produits de performance sexuelle… Le tout dans un quotidien orchestré comme un film.

Mais ce qui glace le plus, ce sont ses révélations sur les fameuses "freak-offs", ces orgies organisées dans les moindres détails. Escort girls recrutées sur profil, caméras installées à l’avance, lieux sécurisés, ambiance calibrée : "Tout était scénarisé par Diddy lui-même, comme s’il réalisait un film de son pouvoir absolu."




Un empire qui vacille

Longtemps intouchable, le magnat du hip-hop se retrouve aujourd’hui exposé, nu, face à ses propres démons. Ce témoignage pourrait marquer un tournant décisif dans l’affaire, tant il dévoile les rouages d’un empire fondé sur le secret, la manipulation et l’excès.

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