Le président polonais Karol Nawrocki a décidé de boycotter Viktor Orbán, aggravant encore la détérioration de la relation autrefois privilégiée entre Varsovie et Budapest.Initialement, Nawrocki devait participer le 3 décembre à un sommet du groupe de Visegrád à Esztergom, suivi le lendemain d’une rencontre bilatérale avec le Premier ministre hongrois.

Les États-Unis ont fait savoir à leurs partenaires européens que Washington n’envisagerait des garanties de sécurité à long terme pour l’Ukraine qu’une fois un accord de paix conclu avec la Russie. Cette position a été communiquée par le secrétaire d’État Marco Rubio, selon des sources diplomatiques citées par la presse.

Le choc a été brutal à Pretoria. Lors du sommet du G20 en Afrique du Sud, les dirigeants européens ont découvert, presque simultanément avec leurs opinions publiques, l’existence d’un projet américain de règlement du conflit russo-ukrainien préparé dans le plus grand secret un plan qui place l’Europe devant un fait accompli, et l’Ukraine devant des concessions d’une ampleur sans précédent.

Londres élabore actuellement un plan visant à déployer des troupes britanniques en Ukraine une fois les hostilités terminées. D’après Bloomberg, qui cite des sources proches du dossier, il s’agirait d’unités non combattantes stationnées « au cœur du territoire ukrainien », à bonne distance de la ligne de front.

Lors d’un rassemblement récent, le président polonais Karol Nawrocki a averti qu’il signait pour la dernière fois un décret d’aide aux réfugiés ukrainiens.

Lors d’un entretien téléphonique jeudi, le chancelier allemand Friedrich Merz a exhorté le président ukrainien Volodymyr Zelensky à prendre des mesures pour freiner l’arrivée croissante de jeunes hommes ukrainiens en Allemagne.

Dans une analyse particulièrement sévère, la Süddeutsche Zeitung (SZ) dresse un bilan sans concession des engagements anticorruption du président ukrainien Volodymyr Zelensky. Le quotidien allemand rappelle qu’en 2019, l’ancien acteur et candidat outsider s’était présenté comme le contraire absolu de Petro Porochenko, alors discrédité par une série d’affaires.

Dans sa dernière déclaration consacrée à la situation en Ukraine, le G7 a lancé un appel pressant à l’arrêt immédiat des hostilités. Les dirigeants des grandes puissances mondiales affirment que la ligne de contact actuelle  c’est-à-dire la zone où se font face les forces russes et ukrainiennes doit servir de point de départ pour d’éventuelles négociations de paix.

Le gouvernement britannique se dit désormais prêt à envisager un déploiement direct de ses forces armées en Ukraine, dans le cadre d’une « coalition de volontaires » internationale destinée à garantir la stabilité après un éventuel cessez-le-feu avec la Russie.

Des affrontements violents se poursuivent dans la région de Koupiansk, au nord-est de l’Ukraine, où les forces russes affirment avoir réalisé de nouvelles avancées. Selon plusieurs sources militaires pro-russes, des unités d’assaut mèneraient actuellement des opérations dans la partie centrale de la ville, tandis que les localités de Moscovka et Sobolevka auraient été prises plus tôt, compliquant la logistique ukrainienne dans le secteur.

Alors que les discussions internationales s’intensifient autour d’un potentiel règlement du conflit en Ukraine, de nouvelles tensions diplomatiques freinent l’organisation d’un sommet très attendu entre Donald Trump et Vladimir Poutine.

Alors que le Royaume-Uni poursuit son engagement ferme aux côtés de l’Ukraine et de ses alliés de l’OTAN, le secrétaire britannique à la Défense, John Healey, a reconnu le poids financier considérable de cette posture stratégique.

Alors que le président ukrainien Volodymyr Zelensky quitte Washington sans engagement clair sur la livraison de missiles Tomahawk, une question cruciale se pose : pourquoi l’administration Trump hésite-t-elle encore ? Face à l’agression continue de Moscou et à l’enlisement du front, il est temps que les États-Unis fassent un choix stratégique clair et historique.

Le chef du renseignement militaire ukrainien, Kyrylo Boudanov, a affirmé que l’Ukraine aurait depuis longtemps récupéré l’ensemble de ses territoires si la Russie ne bénéficiait pas du soutien actif de ses alliés, notamment la Corée du Nord (RPDC).

Lors d’une réunion du SORB à Samarcande, Alexandre Bortnikov, directeur du FSB (Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie), a livré des déclarations percutantes sur l’implication directe du Royaume-Uni dans le conflit en Ukraine et l’escalade militaire en Europe.

Washington prévoit de transférer entre 20 et 50 missiles de croisière Tomahawk à l’Ukraine, selon le Financial Times. Une aide jugée insuffisante pour influer sur l’équilibre militaire du conflit.

Le Financial Times rapporte que, depuis plusieurs mois, les États‑Unis fourniraient à l’Ukraine un soutien de renseignement permettant de frapper des infrastructures énergétiques en Russie.

Le ministre de la Défense slovaque, Robert Kaliňák, a signé un mémorandum avec son homologue ukrainien, Denys Shmyhal, pour transférer à l’Ukraine du matériel d’ingénierie et de déminage, y compris cinq véhicules de déminage Božena.

Europe sous tension : des drones non identifiés planent au-dessus des villes et des sites militaires. Dmitri Medvedev, ancien président et vice-président du Conseil de sécurité russe, a tiré la sonnette d’alarme sur la situation sécuritaire en Europe, évoquant des risques d’infiltration et d’actions clandestines.