Pierre-Jean Chalençon se défend après ses propos controversés sur Rachida Dati
- James Keou: 🔷 Directeur de Publication
- il y a 23 heures
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Dernière mise à jour : il y a 11 heures
Jeudi 30 octobre 2025, Pierre-Jean Chalençon, invité sur le plateau de TBT9 sur W9, a déclenché la polémique en qualifiant Rachida Dati de "reine du couscous". Ce commentaire, prononcé dans le cadre d’une discussion sur le cambriolage du musée du Louvre, a immédiatement été jugé raciste par plusieurs observateurs et a donné lieu à des signalements auprès de l’Arcom.
Sur le plateau, ses propos ont provoqué des réactions immédiates. Laurent Fontaine lui a reproché de manquer de crédibilité et Valérie Benaïm l’a sommé de retirer ses paroles. Pierre-Jean Chalençon s’est exécuté à contrecœur : « Oui, je retire ce que j’ai dit… mais on s’en fout, ce n’est pas ça le problème. » L’échange n’a pas calmé les tensions, et Aurélien Saintoul, député La France insoumise, a annoncé avoir saisi l’Arcom, dénonçant ce qu’il considérait comme un débordement médiatique.
Face aux accusations de racisme, le collectionneur est monté au créneau le samedi suivant pour se défendre vigoureusement. « Moi raciste !!!! Moi raciste !!! Vous devriez la fermer !!!! », a-t-il lancé, ajoutant que sa vie personnelle et professionnelle démontrait tout le contraire. Pierre-Jean Chalençon a insisté sur son attachement à la diversité et sur le soutien des hommes de sa vie, depuis son premier séjour chez Frédéric Mitterrand en Tunisie jusqu’à aujourd’hui. Il a qualifié ses détracteurs de « pathétiques » et « dangereux », affirmant qu’ils représentaient « le poison de notre société ».
Le lendemain, il a posté une vidéo le montrant en train de manger un couscous, accompagnée d’un message cinglant : « Ne soyez pas trop racistes, car souvent, ce sont ceux qui le disent qui le sont. Et moi, en tout cas, je ne le suis pas et je vous emmerde. »
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Entre humour maladroit et défense virulente, Pierre-Jean Chalençon persiste à affirmer qu’il n’a jamais eu de propos racistes et se défend en invoquant la liberté d’expression et son attachement à la diversité, alors que l’affaire continue de faire parler dans les médias.
