« C’est profondément scandaleux » : Jean-Pierre Foucault s’exprime sur le cyberharcèlement visant Angélique Angarni-Filopon
- Soline 🔸 Rédactrice 🔸

- il y a 19 heures
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Invité sur le plateau de C à vous ce lundi 1er décembre, Jean-Pierre Foucault a évoqué le cyberharcèlement dont a été victime Angélique Angarni-Filopon durant son année de règne. Le présentateur historique du concours Miss France est revenu, aux côtés d’Anne-Élisabeth Lemoine et de ses chroniqueurs, sur la pression inédite qu’a subie la jeune femme tout au long de l’année 2025.
Sacrée Miss France, Angélique Angarni-Filopon a fait face, dès son élection, à une vague de messages haineux sur les réseaux sociaux. Un climat délétère qui l’a même poussée à envisager de renoncer à sa couronne quelques mois seulement après son sacre. « En février, elle souhaitait rendre sa couronne. C’était devenu trop lourd à porter », révélait récemment Frédéric Gilbert, président de la Société Miss France, dans les colonnes du Parisien. Pour mieux accompagner les futures élues et anticiper ce type de situations, le comité a notamment décidé de désigner une marraine chargée de les soutenir et de les guider.

Lors de son passage dans l’émission de France 5, Jean-Pierre Foucault a fermement dénoncé ces comportements en ligne. « C’est absurde : Miss France est une émission de divertissement. On ne devrait pas s’acharner sur la couleur de peau, la taille ou la coupe de cheveux. C’est profondément scandaleux. Certains n’ont vraiment rien d’autre à faire », a-t-il déclaré. Interrogé sur l’opportunité d’adresser un message spécifique aux téléspectateurs lors de la cérémonie du 6 décembre, l’animateur a estimé qu’il n’était pas nécessaire de « raviver des flammes qui s’éteignent progressivement », se disant convaincu que la situation « tend à se calmer ».
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La Société Miss France s’était elle-même mobilisée au début du règne d’Angélique Angarni-Filopon pour condamner clairement les propos haineux. Dans un communiqué, l’organisation avait rappelé que ces attaques étaient inacceptables et seraient systématiquement signalées aux autorités compétentes, soulignant que le harcèlement et le cyberharcèlement constituent des délits sanctionnés par la loi.






























