Johnny Depp balance : ces trois proches qui l’ont trahi en plein chaos judiciaire
- James Keou: 🔷 Directeur de Publication
- 22 juin
- 2 min de lecture
Confidences choc
Johnny Depp sort du silence et livre, sans détour, une part sombre de son histoire : celle des trahisons vécues au cœur de la tempête médiatique. Alors que le monde entier suivait son procès ultra-médiatisé contre Amber Heard, l’acteur encaissait d’autres coups, plus personnels, plus douloureux. Ceux venus de l’ombre… et de proches qu’il pensait fidèles.
"Ils étaient à l’anniversaire de mes enfants..."
Dans une interview au Sunday Times, la star de Pirates des Caraïbes se livre comme rarement. Il évoque trois personnes de son cercle intime qui, selon lui, l’ont poignardé dans le dos au moment où il avait le plus besoin de soutien. "Ces gens étaient à l’anniversaire de mes enfants. Ils les jetaient en l’air...", confie-t-il, visiblement brisé.
L’acteur parle d’une trahison silencieuse, insidieuse. Ces amis, autrefois omniprésents, seraient restés muets pendant les attaques, certains allant jusqu’à ternir sa réputation au lieu de prendre sa défense. "Mort par confettis", lâche-t-il, évoquant une lente agonie faite de sourires faux et de poignards invisibles.
"Des fils de pute qui veulent juste du fric"
Johnny Depp ne mâche pas ses mots. Il dénonce ces alliés devenus opportunistes, attirés par l’argent et la lumière des projecteurs. "Ces fils de pute qui vous mentent, vous encensent, racontent toutes sortes d’horreurs dans votre dos…", dit-il, amer. Parmi eux, son ancienne agente, qui aurait témoigné contre lui, le qualifiant de "difficile". Un coup de plus dans une chute qu’il n’aurait jamais imaginée vivre hors caméra.
Un "crash-test" pour l’ère #MeToo
Alors que le mouvement #MeToo battait son plein, Johnny Depp s’est senti seul contre tous. "J’étais comme un mannequin de crash-test pour #MeToo", confie-t-il. Si le verdict du procès l’a blanchi des accusations de violences conjugales, la blessure morale, elle, reste béante. Car ce ne sont pas les rumeurs ou les gros titres qui l’ont le plus atteint : ce sont les silences, les regards détournés, les trahisons "sécurisées".
Aujourd’hui, Johnny Depp regarde sa carrière avec détachement. Il cite Minamata, Jeanne du Barry et Day Drinker comme preuves qu’il "n’est jamais vraiment parti". Et de conclure, tranchant : "Si j’avais vraiment la possibilité de partir, je ne reviendrais jamais." Une phrase lourde de sens, presque cinématographique, qui résonne comme un écho lointain à ses débuts dans 21 Jump Street.
