Harcèlement dans "Secret Story" : la productrice intervient en pleine émission
- Kiara Elhrach 🔸 Rédactrice 🔸
- 1 juil.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 1 juil.

L’émission de téléréalité Secret Story, diffusée sur TFX et TF1+, fait face à une vague de critiques concernant des comportements jugés déplacés entre certains candidats.
Plusieurs téléspectateurs ont signalé des actes de harcèlement, notamment de la part de Marianne, Constance et Célia, visant deux autres participantes, Romy et Anita. L’ampleur de ces accusations a conduit à la création d’une pétition en ligne sur change.org, déjà signée par plus de 4700 personnes en seulement deux jours, réclamant une réaction de la production.
Face à cette situation, la productrice Valérie Jaunard a pris la parole directement dans la Maison des Secrets. Dans un message solennel adressé aux candidats, elle a rappelé les règles fondamentales de l’émission :

"Certains comportements observés récemment ne reflètent pas pleinement l'esprit et les règles que vous avez choisi de respecter en entrant dans cette maison. La Maison doit rester un espace de respect, de bienveillance et de sécurité pour chacun. En signant le règlement intérieur, vous avez tous accepté ces valeurs."
Elle a également précisé que des sanctions, voire des exclusions du jeu, pourraient être prises si ces règles n’étaient pas respectées :

"Des désaccords peuvent exister, c’est humain. Mais ils doivent être gérés avec dialogue et respect."
Christophe Beaugrand, animateur du programme, a relayé le message de la production sur les réseaux sociaux, déclarant :
"La haine ne doit être nulle part et envers personne."
De son côté, la production Endemol a également réagi face aux déferlements de commentaires haineux en ligne. Dans un message publié sur X (ex-Twitter), elle a souligné que Secret Story restait avant tout "un divertissement, une aventure humaine, pleine de jeux, d’émotions et de surprises", tout en insistant sur l’importance du respect et de la bienveillance, y compris sur les réseaux sociaux.
TF1 et Endemol ont d’ailleurs affirmé qu’ils signaleraient toute campagne de haine visant les candidats et se réservent le droit de lancer des actions en justice en cas de cyberharcèlement.
L’affaire suscite de vives réactions, y compris de la part d’influenceurs comme Aquababe, qui affirme avoir échangé avec des proches de l’une des candidates concernées, exprimant également leur désapprobation.