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Bardella critiqué pour avoir repris des piques de Macron lors de son débat contre Le Pen en 2017, une stratégie calculée ou simple coïncidence ?



Jordan Bardella et Valérie Hayer se sont retrouvés sur le plateau de BFMTV pour un duel verbal qui s'est avéré bien plus qu'une simple joute politique. Les échos des joutes passées ont résonné sur le plateau, des répliques qui semblent empruntées à un autre temps, un autre débat. Mais pourquoi ces récurrences, ces mots qui semblent se répercuter à travers les années et les candidats ?


L'étrange synchronicité

Dans un ballet éloquent, Bardella et Hayer se sont échangé des jabs verbaux, mais ce qui a véritablement captivé l'attention, ce sont les répliques semblant résonner avec le passé. Comme un écho temporel, Bardella a utilisé des expressions presque identiques à celles de Macron lors des débats présidentiels de 2017. Une similitude frappante, une étrange synchronicité qui a laissé perplexe plus d'un observateur.


Les mots, témoins du temps

L'usage répété de ces répliques soulève des questions intrigantes. Est-ce une stratégie calculée pour s'inscrire dans une certaine tradition rhétorique, ou bien un simple hasard, une coïncidence linguistique qui transcende les candidats et les élections ? Les mots, témoins du temps, semblent se jouer des frontières politiques pour créer des ponts entre les époques.


Répliques figées dans l'histoire

La phrase "Vous avez mille facettes M. Bardella, mais à la fin un seul visage, celui d'un imposteur", lancée par Hayer, résonne comme un écho lointain de la joute verbale entre Macron et Le Pen. De même, lorsque Bardella riposte avec un sourire ironique et une réplique presque calquée sur celle de Macron, les spectateurs ne peuvent s'empêcher de sentir une certaine déjà-vu, une répétition étrange de l'histoire politique.



Stratégie ou simple imitation ?

L'interrogation plane : Bardella aurait-il délibérément emprunté ces répliques à Macron pour créer une connexion avec l'électorat, ou bien s'agit-il d'une imitation inconsciente, un phénomène linguistique où les mots semblent choisir leur propre chemin à travers les discours politiques ? La réponse reste floue, mais une chose est sûre : cette répétition soulève des questions sur la nature même de la rhétorique politique.


Les réactions et les non-dits

Les réactions ne se sont pas fait attendre. Des commentaires acerbes fusent, certains dénonçant cette répétition comme un manque d'originalité, voire une forme d'opportunisme politique. Pourtant, d'autres voix s'élèvent pour défendre cette pratique, y voyant une manière de s'inscrire dans une certaine lignée politique, de créer des ponts entre les générations de politiciens.


Vers une nouvelle ère rhétorique ?

Ces échos du passé révèlent peut-être une évolution subtile de la rhétorique politique. Au-delà des programmes et des idéologies, les mots deviennent des artefacts chargés de sens, des témoins silencieux de l'histoire politique. Bardella ne fait peut-être que suivre une tradition rhétorique bien établie, ou bien il pourrait être à l'avant-garde d'une nouvelle ère où les frontières entre les discours politiques se dissipent.


l'art de la parole politique

En scrutant ces répétitions linguistiques, nous découvrons les subtilités de l'art de la parole politique. Les mots ne sont pas simplement des outils de communication, mais des symboles chargés d'histoire et de signification. Bardella et ses échos de Macron nous rappellent que la rhétorique politique est un jeu complexe où les frontières entre l'originalité et l'imitation sont souvent floues, mais où chaque mot compte dans la construction de l'image publique et de la persuasion politique.


Vidéo associée : Bardella critiqué pour avoir repris des piques de Macron lors de son débat contre Le Pen en 2017



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